Portes de la ville

Grand maitre Nombre de messages : 331 Age : 35 Date d'inscription : 21/11/2005

Les portes de la ville nord sont grandes et orné de diverses symboles représantant les armes des différents fondateurs de la ville.

Après un long et fastidieux voyage Derek arriva en vu des portes d'Athalka, un profond sentiment de bien être l'envahit, il sentait la présence bienfaisante d'Harzyl en ces lieux. Des âmes pures logeaient ici.

La beauté et la grandeur de ces lieux cachaient cependant des âmes noires, des hérétiques, il ne se le cachait pas, cependant il fit tout pour chasser cette pensée de son esprit afin de ne pas casser l'évènement du moment.

Puis, comme s'il venait de se rendre compte de son acte il plongea à genoux en criant:

"Pardon, pardon Harzyl... je ne dois pas me voiler l'esprit, je ne dois pas penser à mes sentiments, je n'ai pas le droit d'en avoir, j'ai fait un faute que j'espère que tu me pardonnera... Je dois y penser, je dois les éradiquer, tous! Que par ton nom leurs chaires brûlent!"

Puis il se releva en sueur, un sourire triomphant aux lèvres, il replaça son sac et se mit en marche vers les portes en faisant voler sa cape dans le vent. Lorsqu'il arriva en face des portes, a une distance respectable il stoppa un instant sa course, afin d'observer attentivement toute les personnes présentes, une pensée ne le lâchait pas:

"Parmis ces gens se cache le mal, j'en suis certain... mais qui? Ou?"

@ Derek

Tu apercois une dizaine de garde, la plupart sont occupés a fouiller les sacs de miséreux. Tu vois alors que les deux gardes bordant la porte ont l'air de ne vouloir que tuez les misérables paysans, d'ailleurs un paysan vient d'ouvrir un sac contenant des objets rares, immédiatement les gardes le chassent prétextant qu'ils sont volés et menace de la découper. Tu est assez loin mais les bruit de parvienne très, bien la main d'une des gardes c'est refermer sur le pommeaux etv n'attend qu'un geste du paysan pour le tuer. Le serf ne semble pourtant pas s'en être apercu et malgré son capuchon de cuir qui te gène la vision de son visage tu as l'impression qu'il s'apprete a réagir. D'ailleurs le sourire du garde a l'épée semble prouver ta théorie

Derek observa la scène avec intérêt, il ne lui fallut pas bien longtemps pour l'analyser, ce garde, ce défenseur de la ville, représentait la justice, la loi.
Ce maudit pandard de paysan ne méritait pas de vivre s'il ne vouait pas son existence à la servitude et au respect que son niveau social exigeait.

Que feraient ils sans gardes pour les protéger? Est ce là toute l'attention qu'ils portent à leurs protecteurs? Il n'est que légitime que le protecteur ait une supériorité envers le protégé, ce n'est que justice.
Ce mécréant mériterait son châtiment, quel qu'il soit.

Il fut bien heureux d'assister à cette scène qui renforça encore plus son idée sur les protecteurs, la sainte justice était présente en ces hommes nobles gardiens et très certainement au seins de la forteresse, il était arrivé à la capital d'Harzyl. Il avait hâte de pénétrer en ces lieux et de se rendre le plus vite au grand temple d'Harzyl afin d'offrir ses services.

Il s'approcha lentement d'un garde, effectua une courbette de courtoisie en prononçant d'une voix mondaine, dur et charismatique:

Noble gardien de cette sainte cité aux milles vertus, auriez l'extrême courtoisie de m'indiquer le protocole à suivre afin de pénétrer en toute légalité à l'intérieur de ces redoutables murs? Et pourriez vous par la suite m'indiquer où je puis trouver le haut temple de notre seigneur à tous... Le bon Harzyl?

Il avait prononcé ses paroles, s'était relevé et attendait à présent la réponse du garde avec grande impatience, tout en camouflant son impatience derrière un regard franc et sincère aspirant à la confiance.

Le garde te regarda, il ne semblait pas comprendre ton sourire et tes paroles, il répliqua juste d'une voix sèche:
"Votre sac chevalier, et cette bourse s'il vous plait, c'est juste une vérification"
Tu entendis alors derrière la muraille le cri d'agonie du paysan d'on tu avait suivi les dernier geste

Derek écouta le garde, puis lorsqu'il entendit le cris du paysan il ne puit dissimuler un sourire accompagné d'un regard dur.

"C'est peut être difficile, mais c'est la sainte justice d'Harzyl, qu'il en soit ainsi."

Il se pencha ensuite sur les dires du garde, de toutes évidences ce n'était q'un larbin, un exécuteurs des salles besognes, l'un de ces serviteurs de la justice qui ne sont là que pour obéir aux ordres, il n'était pas cultivé et n'avait nullement besoin de l'être.

Même s'il valait au moins deux fois plus que ce moins que rien il devait se plier à ses règles et il le savait. Cependant cela ne le gêna pas outres mesures, il déposa donc son sac à dos à terre et le tendit au garde afin qu'il puisse effectuer sa vérification, il fit de même avec sa bourse, il ne puit néanmoins s'empêcher de dire:

N'ayez craintes messire, je ne suis nullement l'un de ces vils brigands qui hantent nos campagnes, je suis un servant d'Harzyl... Sa volonté m'accompagne et guide mon bras, je gage que vous ne trouverez d'objets illégaux dans mes affaires, mais je comprend tout à fait que vous aillez à effectuer votre travail, aussi ne vous mettrai-je nullement de bâtons dans les roues, et vous laisserais-je faire. Vous voila prévenu.

Il attendit donc encore une fois que le garde lui rende ses affaires en regardant autours de lui, observant la cité de l'extérieur avec admiration.

Le garde te dit plus amicalement:
"Je ne doutais pas de votre légalité mais bon, il faut respecter les codes vous devez le savoir si vous êtes pieux en Harzyl."
TU savais que ce qu'il disait était une faute mais tu ne dit rien après tout il t'ouvrait les porte

Tu peux posté dans les rues NORD

@Massal Rool

Tu arrive devant les portes de la ville au petit matin. Atalka est une grande villeet tu vois plusieur toit de maison, temple,ect... dépassait des muraillesIl y a peu de monde et deux gardes a l'entrée de la ville. Ils n'ont pas l'air de s'intéressait a toi, ni a personne. Ils ne surveillent pas les entrées de la ville, mais les sorties. Ils ont l'air d'avoir vraiment peur. Il y en a même un qui tremble à droite. Un homme brun au chaveux mi long, les yeux noirs, habillé de noble vêtement qui entrait dans Atalka, en même temp que toi t'interpelle:

Bonjours, C'est tu pourquoi les gardes ont l'air si éffrait? J'ai entendu, parlait de meurtre. Il surveille plus leur arriére que atalka.

Voyant que tu n'a pas l'air de savoir plus que lui Il te dit Aurevoir et il par de son côtés à Atalka.

Massal s'approche d'un grand garde a la barbe blanche. Il dit a celui ci qui paraissait moins perturber que les autres.
"Bonjour, mon cher patriote de la ville puis-je entré dans la capitale de ce gran pays, a tener voici mon sac, bon je vous ennuis je m'en apercois, que se passe t'il pour qu'il y est autant d'agitation

"A eu, oui merci."

Il fouille apenne ton sac puis il te le rend.

"Tu es réglot. Et a Atalka, il y a eu des meurtres de deux assassins différent, tous le monde a peur est éffrayait.Mais vous vous avez l'air courageux. Venez a Atalka, n'aiyait pas peur."

Tu vois qu'il ne croit pas se qu'il te dit. Mes son métier l'oblige =, a faire venir les gens dans Atalka.

JE regardait le garde et dit souriant.
"Je ne m'inquiète pas pour moi mais vous, vous devriez peut-être vous souciez de vous, il parait qu'Athalka n'es plus très sur pour les force de l'ordre, bon au revoir"
IL reprit son sac et se dirigea dans Les rues nord (Suite du message la-bas)

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