Chalet des DeGrade

Ici vive les De Grade: Le chevalier Larisse et sa femme Florence ainsi que leurs enfants Colone et Piliet De Grade. Le chef de maison , Larisse, est un grand chevalier rennomé et riche.
Cette maison est grande, elle a trois étages. le premier est les chambres a couché des enfants et des parents. sur le deuxiéme se trouve la salle a mangé, la salle d'entrainement du pére et du fils. Et le troisiéme et l'endroit ou dorme les domestiques sans oublier Eragon le cheval qui loge dans l'écurie derriére la maison.

Je me couche sur mon lit. Je ferme les yeux. Je pense a ma mére je me remémore des moments passés avec elle. Elle qui était si belle si gentille. Je la revois me prendre dans ses bras et me dire:

"Plus tard tu sera un grand chevalier. Tu gagnera tous tes combat et quand tu rentreras chez toi, tu iras me voir pour tous me raconter???"

Je lui répondais que oui. J'aurais tans aimé le faire. Puis a l'age de 15 ans elle a disparus. A 23 ans je commance a devenir célébre et en rentran chez moi, je n'avais pas ma maman pour que je lui raconte mon combat. Malgrés ma tristesse aucune larmes ne coula de mes yeux j'étais un chevalier! Je me leva. Et je marcha vers Florence je lui dis

"je sort voir pére , je rentre bientôt."

Et je sortis voir mon pére.

Tu sort rechercher ton père, mais tu ne trouve point. Quand, enfin , tu l'apercois au loins il a l'air dépité et te dit:
"Tu l'as entendu? Ta mère? Elle as parlé? Elle est en vie!!!"

Ses yeux reflétait une sorte de folie immense de joie

Je le regarde, je souris. Je le prends dans mes bras, j'exclame ma joie.
Et puis je réfléchis et je dit a mon pére:

"Pére! Je crois que nous ferions mieu de ne point avertir une autre personne, sur le retour de mére! Si elle n'est point venus nous voir sait qu'elle a une raison. Feson une enquéte discréte chacun de notre côtés et chaque jour quand 15 heure arrivera, nous nous retrouverons à la place d'Harzyl ."

Je le regarde sans cacher ma joie de revoir ma mére. Je lui dit Aurevoir et je retourna chez moi pour décusté un bon repas, surment préparé par Florence, pendant lequel je ne cacha pas ma joie. Je me montrais calin avec tous le monde, gentil, un sourire rayonait mon visage et pour la premiére fois je raconta au enfants des histoire que j'avais vécu avec ma mére, car Florence avait toujours trouvé stupide que je ne leur parle pas de leur grand-mére.Je lui souris et je continua l'histoire sur elle que je racontait.

@ Larisse

Après ce joyeux repas, ta femme dit d'une vois forte:
"Eh ben, je crois que nous avons tous fort bien mangé, il est grand tant d'aller se coucher, ah , Larisse, tu as vu ton père?",elle te demande cela en finissant de nettoyer la table puis elle se dirigea vers la chambre ou elle t'attendait toi et ta réponse

Je la suivi dans la chambre. Et je lui répondis:

"Oui je suis alez voir Pére.

Je me couche sur le lit, je regarde Florence et je lui dit de nouveau:

"Il va extrémement bien."

Je souris. Et je regarde Florence en voyant à moitié en elle la femme dont je suis amoureu mais aussi une femme belle gentil:MERE. Je lui dis enfin:

"Et toi ta journée?"

Elle te regarde et dit
"Wof, les enfants sont assez calmes en ce moment", un baillement s'échappe allors de sa bouche elle se retourne et dit
"Je suis fatigué moi...."

Je la regarde je n'est pas du tous someil. mais je lui répond qu'aux même:

"Oui tu as raison dormons"

je m'installe confortablement sur le lit et j'attend qu'elle viennent éteindre la lumiére et venir dans le lit. Puis je ferme les yeux.

Des cours de rallongement??
J'avais la flaime de faire un long message j'étais crevé.

Tu sombre dans un léger sommeil. Il te semble entendre du bruit puis plus rien, ton imagination te laisse tranquille. Tu commence a compter des moutons dans un grand champ de blés.

Mini-quête: Décris une aventure ou tu est pourchassé par un singe de 8mètre de haut . Le monde dans lequelle tu te trouve est contemporain et tu seras récompensés selon la qualité du RP

mini-quête: Je me balladais tranquillement dans la rue. Il y avais peu de circulation. La neige tombait,il fesais froid. je tourna a droite, pour me rendre chez moi quand d'un coup, une énorme bête sortis de la rue. Elle étais GRISE (^^), son ventre lui étais jaune inci que le boue de sa queu. Il n'avait pas de poil sur les mains, ni sur le visage. Son visage étais sévére, il ressemblais a un gros singe. Il mesuré environ 8 métres, et un grognement s'échappa de sa bouche. Je partis en courant, vers la route inverse, je ne regarda pas si une voiture passait, contrairemnt a mon abitude. je sentais sa présence derriére moi, éffrayante.je pris mes jambes à mon coup et je courus le plus vite donc il m'étais permi. J'entendais le brut de ses pas derriétre moi. je començais a fatigué, mais je continua. je cria de l'aide, mais il ni avait personne. je ne pris pas la peine de me retournait pour voir si le monstre étais encore là. puis comme je n'entendais personne, je me retourna tous en couarant. Il n'étais plus là. je m'arréta et je repris mon soufle, il ni avait personne. J'étais presque rassuré quand je me retourna et là je le vie, sa grosse tête me regardais, et il me donna un coup.
fin

Je me réveille en sursaut.

@ Larisse
Tu te réveille en sueur, reste a moitié debout un moment, te remettant de on cauchemar difficilement, tu essaye de te rendormir , ta femme dort tranquillement a côté, et sa vision t'apaise profondément. Tu retourne dans ton lit et essaye de t'endormir

Tu n'est pas obligé de réondre, tu peux attendre (MAX: 2Jours) une suite, sace que 2 JOurs c'est vraiment le maximum et que je pense que tu te réveillera surement a 21H

VICTOIRE LORS DE LA MINI-QUETE:

Tu est encore a moitié réveillé quand la voix de ta mère se remait a retentir:
"Fais gaffe, je s'en que la ville va courir un grand péril cette nuit, en tout cas qu'elle horrible et loufoque rêve tu fais, voici un collier d'apaisance destiné, il te permet lorsque tu dort de pouvoir recevoir des images plus positives envoyez par des sorciers, il te permettra aussi, si tu le fait grandir par Lenoir, d'envoyer ces mesage, en plus, lorsue ta puissance te le permettra tu pourra envoyer des messages a ceux qui ne possède pas de collier, en attendant voici une boite de 6 colliers plus 3 pour ta femme et tes enfants."
La voix s'estompe, sur la table de chevet apparait les fameux collier

TU te remets difficelement du message de ta mère , tu viens a peine de passer ton collier autour du cou , a peine l'as tu passé qu'il te semble que ta mère t'observe, c'est alors que tu sens une deuxième présence , une voix féminine qui ne ressemble pas a ta mère te dit:
"Bonjour! Larisse je suppose , sa m'étonnerait qu'Arsen se trompe, je voulais te prévenir, lève-toi , dirige toi dans la chambre de Collone , ouvre la porte et contemple ce qui si trouve. Ah moins que tu désire voir ta mère, demain , vivante, avec ta femme, d'ailleurs ne s'appelerait t'elle pas au plus grand des hasard?",la voix se tait pour rigolé, la voix était celle d'une de ses femme humaine qui as honte de sa race sauf que cette fois, elle ne semblait pas hair les hommes.
Tu méditais a la vérité de cesdires, allé voir Collone et risqué la vie de ta mère et ta femme ou resté a côté de ta femme?

Je ne savait que faire. je n'y comprenez rien qui était cette femme, que me voulait-t-elle? Mon honeur de chevalier, m'obliga a aller voir ma fille Colonne. Je me leva donc, pensant trés fort à ma femme et a ma mére. Je me diriga vers la chambre de COLLOne. Mais mains tremblait comme tous mon corps. J'avais pris soin avant de partir de prendre mon arme et deux colliers. J'entra le plus vite possible dans la chambre de ma fille arme à la main. Mon corp batait trés fort.

Tu entrais dans la chambre de ta chère fille tu entre en courant, tu apercois alors un homme qui attedait derrièe la porte, il arrive a s'enfuir avant de la chambre il se dirige vers ta chambre en courant. Et il crie par dessus sont épaules
"Au revoir Larisse, ah, la fille c'est juste un emprunt"
Tu n'as pas eu le temps de bougé, trop traumatisé par les évenements tu ne sais pas si il est belle et bien aller dans la chambre de ta femme.

Je reprend mes espris et je me dirige le plus vit'e que mes jambe me le permette, dans ma chambre la ou se trouve Florence. Mon espris et brouillé. je me pose tans de question.
1 Qui est la femme qui ma parle
2 Pourquoi a ton quinapé collonne
3 A-ton fait du mal a Florence ou a ma mére.
4 Ou est ma mére et que fait-elle.
5 Pourquoi veulent-ils faire du mal a Colonne, Florene et ma mére.
J'éssaie tans bien que mal de comuniquer à ma mére c'est question.J'entre enfin dans ma chambre , arme à la main et bien déssidait a ne pas me laissait abbatre cette fois.

TU entre en faisant un fracas qui réveille Florence qui dormait paisiblement
"Que se passe-t-il , mon chéri?"te questionne t'elle.
La chambre n'as pas bougé d'un poil, tu pense même que le malfrat n'y est pas entré, d'ailleurs le lit conserve la marque du réveil de ton cauchemar. Ta femme elle dormait a poing fermé comme si le fracas de la fuite du malfrat ne l'avait pas réveillé. Tu remarque alors sur ta table de chevet un petit bout de papier.

Je m'avança, vers le bout de papier. Je dis a Florence d'une voix tremblente et ésitante:

"Ils ont quinapé Colonne. Ma fille! Je ne c'est pas pourquoi, ni coment. J'avais entendu du bruit, alors je me suis levé. Je suis allais voir dans la chambre de collone, car c'est de la que venait le bruit. ET j'ai vu une parsonne qui l'avais dans cc'est bras, il m'a dit que se n'étais qu'un enpreint et il est partis je ne sais ou. J'étais parralisé. Je suis alors venu voir dans la chambre si il ne t'avais pas fait de mal."

Je m'approcha alors du papier et je le lu d'abors dans ma tête.

Tu ouvre alors le message, une écritue appliqué le remplit pleinement

"Encore désolé, cher chevalier d'avoir du faire cette emprunt, ce ne seras je l'éspère pour guère longtemps. Malheureusement, vous le savez la guerre fait rage et si sa continue je devrais partir au combat pour surement y mourir et vous ne reverrez pas votre fille....

Ah, je rigole, votre tête doit être splendide dommage d'avoir un marmot (Ou une marmotte? comment dit-t-on?"
Enfin bref, je dois éduquer Eau de cologne le plus rapidement possible et effacé cette douzaine d'année gaché par vos soins. sans vouloir être impolie après tout vous serez peut-être LE grand chevalier qui arretera la débamdade dans notre cher ville. Enfin bon, j'éspère que vous alerterez notre bom roi comploteur de la mort du kidnapping, au moins comme sa j'aurais plus de monde qui m'observera, et oui j'adore me donner en spectacle.Bon, sa vous épatera si je vous dit que j'ai fais ce message une fois que vous m'avez repérez dans la chambre....OUI....et ben je l'ai pas fait dans la chambre, bon j'ai beau être tranquillement caché a siroter il faut que je vous laisse, car en ce moment je suis comme les gros messieurs a la berbe blanche et vêtue de rouge, très chargé !

Avec ses presque plus distingué sentiment, ARSEN LUTIN:joker: "

Tu jette un oeil dépitée au papier voyant que le malfrat a même fait des petits dessin débile et qu'il daigne en dire plus sur l'avenir de ta fille, tu es cependant rassurer quand il dit qu'il te rendra le plus bientôt possible. Mais la remarque sur le roi t'irrite légèrement. Ne tout cas, te dit tu, cette homme a un humour bien spéciale

Je ne voyait rien a caché a ma femme, alors je lui donna la lettre pour qu'elle puise la lire de ses propres yeux. Je m'avança devant la porte de ma fille, cherchant a me mémorisé le visage du quinapeur. Je savait que , mon fils Pilier allait être réveillé par le bouquant mais cela ne m'importait gére. Je n'étais pas fiére de moi. Ma mére, ma fille , ma femme, ... Je n'en pouvais plus, tous se préssipita dans ma tête. J'avais les yeux ouvert mais je voyais flou, je sentais quelque chose sur ma joue. C'était mouillé. Une larme????? Cela fesait si longtemp. J'y pris plaisir et je pleura. Je me libéra de tous mes droits, mes devoirs, ma réputation,... Mes larmes coulairent longtemp jusqu'a se que, je pris concience de mon devoirs, pas de chevalier, mais de pére. Je calma ma tristesse et je proposa à ma femme d'aller voir , le maire d'Atalka, et de lui montrer cette lettre. Il hésita longtemp avant de dire sa. Il ne fesait que obéire au ordre de cette homme. Il changa alors d'avis. Et il dit a sa femme:

-Il faut sauver Collone. Je vais chez Pére. Je revien bientot. Verouille la porte et ouvrere que si, là il chuchota sa fin de phrase, la personne frappee trois fois et dit "c'est moi Larrisse Collone DeGrade, banane rose, banane bleu."

Tu entend un rire dans ta tête: "Banane, c'est toi oui!!!!!!", tu reconnais alors la voix du kidnappeur, a ton étonnement PIllier dort toujours, mais tu c'est qu'a son créveil son état mentale va s'effronder et qu'il lui faudra un père de béton pour pas qu'il tombe en morceau sous le poid de l'injustice (PILLIER^^). Tu pars alors chez ton père.Ta femme t'appele alors te demandant ce que sont ces colliers qu'elle a trouvé encore posés sur la table de chevets.

Je lui répondis d'une voix sans émotion:

-je ne sais pas, j'ai fais un rêve étrange et les collier son aparu. je ne sais pas d'ou il vienne ni a quoi il serve mais porté les on ne sais jamais, sa ne peu pas empiré notre cas. Et.. florence essaye de reconétre ma voix. je t'en pris ne te trompe pas.

Je l'embrassa et je parti en courant chez mon pére ou j'espérai , y trouvé l'aide dont j'avais besoin. je courait le plus vite possible j'était arrivé alletant devant le porte de chez mon pére. Mes mains tremblaient, je repris vite mon soufle, avec les combats j'étais abitué. je frappa alors a la porte espérant de tous coeuer voir mon pére ouvrir, en bonne santé, juste inquiait pour ma mére.J'étais prés a tous voir a tous entendre. Il falait qu'il soit là devant la porte prés a m'ouvrir, il le falait!!! C'était mon espoir, mon seul espoir. chaque seconde passait comme des heures pour moi, homme triste , voulant voir son pére pour parler de la disparition de sa fille. t avec toute cette émotion j'u du mal a me souvenir du mot de passse. Et je finis par l'oublié. J'éssayé de me le r'apeller: C'est moi la banane vet, banane bleu, non. je suis larisse de Grade,une gros banane bleu et rouge, NON!!! J'étais fichu.

[i]I have réponded to you in the Rues